THAT THE NIGHT COME
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Josephine Nash
Josephine Nash
gif : comfortably numb.
pseudo + pronoms : Caligari (elle)
faceclaim + crédits : Sophie Thatcher (avatar : nukaven - signature : awona)

Messages : 53
MULTINICKS : /

ZONE LIBRE :

the way I learned
to stop worrying
and love the flood.


. moodboard .
____________

playlistliens


age : 23 ans
WORK : Réceptionniste apathique du Storage Star, garde-meuble planté à la jonction de la ville et du désert.
LOVE STATUS : Fiancée. Un solitaire trop grand, porté au majeur quand elle pourrait simplement le mettre à taille. Moins d’amour que de confort pathétique dans cette relation.
PRONOUNS : Elle

STYLE RP : 300/1500 mots, 3e personne, dialogues en français
WARNINGS : Violence parentale, homicide involontaire, pensées homicidaires, noyade, deuil
Josephine Nash
comfortably numb.
 
 


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  • TRIGGER WARNINGS / CONTENT WARNINGS: violence parentale, pensées homicidaires, cruauté envers un animal, homicide involontaire, deuil, noyade, corps, anxiété

    PRÉNOM(S): Josephine, Linda. Jo, pour les intimes. Plus simple à soupirer en accompagnement d'un roulement d'yeux exaspérés. On lui en sert à toutes les sauces, du Jo : au travail quand elle ignore le téléphone ou la sonnette, dans le salon toujours en bordel, dans les messages intempestifs que sa mère envoie jusqu'à obtenir une réponse. Même devant la grille de l'école, quand la génitrice du morveux se décide à lui infliger son insupportable perfection et qu'elle lui crache, un sourire rayonnant aux lèvres et sans souffrir la moindre rancœur, ce diminutif qui en deviendrait presque chantant. NOM: Nash, à mâchonner comme un râle d'agacement. Parfois accompagné d'un élan de sympathie ou de pitié dont elle ne veut pas, quand on l'associe aux derniers membres de la famille encore en ville - et à celui mis en bière quelques années plus tôt. ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 23 ans. Née le 23 février 2000 à Saint George (UT). ORIGINE(S) ET NATIONALITÉ(S): étasunienne, white trash. Produit de cette autre Amérique qui n'a rien de resplendissant mais qui s'évertue à vouloir se fondre dans la masse à coups de stéréotypes. Coca-Cola, Walmart, matchs de baseball et palissade blanche dont la peinture s'écaille. Le rêve de grandeur des aïeux a viré crasse, et la dernière génération de Nash s'en fout. GENRE ET PRONOMS: femme cisgenre. Elle. MÉTIER, OCCUPATION: réceptionniste apathique et démissionnaire du Storage Star, garde-meuble à la jonction de Nowhere et des Lost Lands. Plantée là de nuit, la plupart du temps. La mauvaise foi en étendard : un bureau chaotique, le regard trop souvent rivé sur l'écran de son téléphone, les tympans bombardés de podcasts de true crime et de true horror. Elle surveille mal et de ses yeux ternes et cernés les allers et venues des clients qui voudraient être invisibles. Quand le calme s'installe dans les entrepôts, elle quitte son poste pour visiter les box de stockage à la recherche d'un frisson quelconque ou des secrets des gens du coin. Parfois, elle empoche quelques dollars pour pistonner les enchérisseurs sur les lots qui en valent la peine. Parfois, elle referme les cadenas en silence, les yeux fermés pour effacer l'image de ce qui se tient derrière la porte métallique. Et elle retourne à son poste en se disant qu'elle devrait prévenir la police. Mais elle ne le fait pas. Jamais. STATUT CIVIL ET ORIENTATION(S): fiancée au premier venu. À un homme qui n’est pas pressé de se marier, et qu’elle n’est de toute manière pas sûre d’aimer. Le solitaire qu'il lui a offert pour marquer leur union éternellement à venir est trop grand. Elle le porte au majeur, choisit parfois de dire qu'il ne s'agit que d'une bague quelconque. Il tourne sur son doigt trop fin ; elle manque le perdre chaque fois qu'elle se lave les mains. Bisexuelle désintéressée. SITUATION FAMILIALE: Belle-mère sans la moindre trace d’instinct maternel d’un môme chiant de six ans, qu’elle rêve de noyer dans la rivière. Par défaut, elle subit l'existence de l'ex-compagne de son fiancé, affreusement présente dans leur monde. Des Nash, il ne reste plus grand-chose. Qu'un frère qu'elle aurait préféré mort et une mère envahissante qui compense aujourd'hui, au gré de son humeur et de sa culpabilité, son apathie d'autrefois. Sa famille paternelle est éclatée à travers l'État, le dos tourné. À NOWHERE DEPUIS: toujours. Six générations de Nash misérablement plantées là, à la manière de mauvaises herbes. Le souvenir de leur existence en ville tombe en ruines le long de Walhquist Lane : The Tackle Trove, ancienne boutique de pêcheur aux portes et fenêtres condamnées de planches vermoulues et de mauvais souvenirs. POURQUOI?: les pieds coulés dans le sable et la vase au fond de la rivière, elle est incapable de partir, quand bien même elle en rêverait. Mais il faudrait de l'ambition pour que naisse le désir de fuir, et la sienne a pris l'eau dans les bras boueux de Boundless Beck. FACECLAIM: Sophie Thatcher.

    CARACTÈRE: apathique - rêveuse sans ambition - frustrée - violence en infusion - désintéressée - amatrice de glauque - mélancolique - redoutable mémoire des détails inutiles - fouinarde - concierge ratée - insatisfaite - revancharde qui s’ignore - bordélique - étonnant sens de l’orientation - influençable - fuit le conflit - imprudente - passivité chronique - résiliente - estime d’elle-même en berne - observatrice - en quête constante d'une stabilité qui ne vient pas.





  • Now, I live in a ghost world, enclosed in my dreams and imaginings.
    Ingmar Bergman, The Seventh Seal.






    CHRONOLOGIE
    23/02/2000 - naissance à Saint George (UT). Une mère sans autre ambition que celle de peindre un portrait bancal de famille parfaite. Un père trop occupé à ruiner le tableau pour se rendre compte des efforts de son épouse.
    2003 : naissance d’Austin, enfant chéri, favori. Josephine est incapable de se rappeler si elle le haïssait déjà à cette époque, ou si sa haine n’est venue que plus tard.
    2004 : premières leçons de natation. La gamine est toujours trop près de l’eau, malgré les interdictions d’approcher la rivière sans surveillance. On lui apprend à nager de peur qu’elle ne se noie. Elle semble presque respirer sous la surface.
    2005 : arrivée de Plum dans leur monde. Le chiot croisé Border Collie devient immédiatement le plus beau compagnon de route de la plus âgée.
    2007 : premières difficultés scolaires et redoublement de la second grade. Elle manque de concentration. Elle manque d’intérêt pour ce que l’institutrice peut bien écrire au tableau. Elle a toujours l’air ailleurs et la liste de ses lacunes se fait brusquement longue.
    2009 : son père abat Plum. Manque de patience face à une simple bêtise. Sa mère ne parvient pas à lui faire croire bien longtemps à cette grande ferme où vont les braves bêtes. Elle sait la violence de son géniteur et sa manie de creuser des trous dans tout ce qu’elle aime.
    2011 : décès de sa grand-mère maternelle. Une part de douceur est enterrée avec elle. Josephine se ferme comme une huître.
    2013 : noyade d’Austin. On le ranime sans savoir combien de minutes il a passé au fond de la rivière. Son père accusera éternellement un poisson-chat. Jo sait qu’il y a quelque chose d’autre dans l’eau.
    2014 : commence à travailler dans la boutique familiale, après l’école. La peur de terminer sa vie dans les rayons de matériel de pêche la happe toute entière. Ses camarades de classe se font une idée de leur vie après le lycée ; elle ne parvient pas à tirer le moindre plan sur la comète.
    2016 : mort de son père, qui tenait à régler une vieille querelle dont le monde entier se fichait. Le voisin n’attend pas de le voir entrer armé dans leur mobil-home pour sortir son propre Remington. Homicide involontaire. Plus d’alcool que de sang dans les veines, cette nuit-là. En deuil, elle ne sent pas le soulagement qui devrait alléger son cœur.
    2018 : rencontre Duke, personnage haut en couleur à tendance complotiste qui fera une figure chaotique de référence.
    2019 : termine le lycée, empoche son diplôme de fin de secondaire de justesse. Larguée, Josephine entame son enchaînement de petits boulots en tous genres.
    2020 : rencontre Mitchell, de quatre ans son aîné. Père d’Archer, môme ingrat qu’elle ne supporte pas. Ils s’installent trop rapidement ensemble, du côté de River Point.
    2021 : une demande en mariage faite à la va-vite entre deux bouchées d’un burger maison. La jeune femme accepte faute de mieux, parfaitement consciente que son fiancé nourrit encore des sentiments pour son ex-compagne et la mère de son fils.
    La même année, commence à travailler au Storage Star, d’abord de jour puis rapidement de nuit. Elle n’attend pas trois mois pour commencer à explorer les box, et pas six pour rencarder les enchérisseurs qui s’arrachent les lots à l’abandon.
    05/07/2023 : découvre le corps d’une femme en fouinant du côté du garde-meubles E-207. Josephine ne dit rien. Josephine ne dit jamais rien, de toute manière.







  • Louise/Caligari

    ÂGE : 28 ans. PAYS, FUSEAU HORAIRE : France. SIGNE ASTRO : capricorne désintéressée. TYPE DE PERSONNAGE : inventé. UN DERNIER MOT POUR LA ROUTE? : rhododendron. CRÉDITS : miserunt.





  • Josephine
    Nash
    I have become comfortably numb.








The End (Eat My Vocals)
El Michels Affair
2017



The first Christmas he's not alive.

TW : Deuil, pensées homicidaires, noyade

Assis autour de la table à laquelle ils dînaient habituellement en famille et en silence, ils fixaient leur gamelle. Front bas, cœur lourd, lèvres scellées, ils rechignaient tous les trois le plat qu'il aimait tant. Ils auraient pu parler, causer, échanger des banalités pour panser la plaie et le vide en bout de tablée, mais ils portaient en eux des réflexes si profondément ancrés qu'ils n'étaient pas près de s'en départir. Pas prêts, à défaut. On n'entendait donc que le crissement désagréable des fourchettes sur la mélamine, comme ils piquaient un légume ou un morceau de viande sans jamais rien porter à leur bouche.
Sharon avait dressé trois assiettes mais sorti une quatrième par habitude. Nue. Superstitieusement placée devant la chaise qu'il occupait hier encore. Josephine s'attendait à la voir valser à travers la pièce d'une seconde à l'autre. Austin la guettait du coin de l'œil, lui aussi, son éternelle expression torve sur le visage. Sale gosse. Gamin bizarre. Il aurait dû se noyer trois ans plus tôt, quand l'un des poissons-chats qu'il lui apprenait à pêcher à la main en plongeant et sondant le fond de la Rivière l'avait empêché de remonter à la surface. Plantée sur la rive, Jo avait regardé faire. Laissé faire. Et elle avait encaissé la rossée qu'il lui avait flanquée après avoir sorti son frère de l'eau. Elle rêvait encore de cette scène. La nuit, elle retravaillait la fin de l'histoire pour la transformer en drame. Elle s'imaginait enfoncer un tuyau d'arrosage entre les dents de son cadet et ouvrir le robinet pour remplir ses éponges de la flotte qu'il lui avait fait recracher ce jour-là, quand il avait arraché son fils, tout bleu, des bras de Boundless Beck.
Elles n'auraient plus été que deux, s'il l'avait laissé couler. Si elle avait eu assez de cran pour se débarrasser de lui, depuis. Sans doute seraient-elles allées cuver leur deuil au diner. On leur aurait servi un cliché de la cuisine américaine et des regards remplis d'une expression immonde de compassion, de jugement et de soulagement mêlés, qui leur aurait retourné l'estomac comme le néant - cet horrible rien en bout de table - le faisait déjà.


There's a hole in the ground.

TW : Enterrement, mort animale, violence conjugale, homicide involontaire

On avait ouvert une brèche béante dans le sol. Un gouffre trop sombre qui absorbait tout sur son passage : l’espoir comme les sons. Immobile face au vide vertigineux, Josephine n’entendait plus rien du monde extérieur, qu’un bourdonnement sourd et l’écho faible et irrégulier de son rythme cardiaque. Les paroles fausses et réconfortantes que le pasteur dispensait sans y croire ricochaient à ses tympans ; les pleurs de Sharon et la respiration trop calme d’Austin avec elles. Elle relevait de temps à autre ses yeux rouges et gonflés vers son frère. Gamin glauque. Il sondait l’instant et leur environnement à chaque seconde qui passait. Et par moments, elle le voyait se bouffer les joues pour se retenir de grimacer un sourire.
On leur avait répété cent fois au moins qu’il avait été chanceux d’avoir de tels enfants. Elle avait renâclé à chacune d'elles, comme pour chasser ces compliments qui la rendaient malade. Pour faire disparaître les condoléances ternes et affectées qui lui donnaient la nausée. Ni le nœud dans sa gorge, ni le poids sur son cœur n’avaient de sens. Mais le deuil se forgeait dans l’amour et le manque plus que dans la haine et la peur, aussi Jo avait-elle choisi d’oublier pour un temps. Oublier le trou qu’il avait percé dans la porte ; celui qu’il avait poinçonné au travers du chien ; celui qu’il avait excavé, dent par dent, dans le sourire de sa femme. Il n'avait jamais su faire que ça : creuser. Creuser encore. Jusqu’à la tombe devant lequel ils se trouvaient, tristes et courbés par son absence, ressemblant à s'y méprendre aux saules qui bordaient le lit de Boundless Beck.
On avait interpellé le voisin quelques jours plus tôt et cloué des planches sur la porte et la vitrine de la boutique la veille. Il avait fallu ignorer les murmures alentour qui classaient déjà l'affaire en accident mérité. Incident, tout au plus. Le coup de feu avait déchiré la nuit trop longue, fait se raccourcir les heures qui n'en finissaient habituellement pas. Il s'était vu perforer de part en part. Une crevasse crasse et brouillonne en plein milieu du torse, qui trouait les paupières de Josephine chaque fois qu'elle fermait les yeux pour se l’imaginer.
Le pasteur leur disait de pardonner, et Sharon sanglotait de plus belle. On leur intimait de ne pas s’en faire, puisqu’il veillerait toujours sur eux d’où il se trouvait. Et Jo frissonnait à cette idée. Se prenait à vouloir disparaître au fond de la rivière, où il ne pourrait pas la suivre. Encore moins la retrouver.


Everything's torn in the River deep.

TW : Pensées homicidaires, noyade

Il y avait quelque chose dans l’eau. Installée en bord de rive, elle jaugeait les ondulations confuses qui froissaient l’étendue aqueuse. Bras solidement noués autour de ses genoux, orteils ensevelis sous le sable et la vase. Elle les voyait rouler. Se tordre en approchant d’Archer. Gamin odieux. Il aurait fallu qu’il glisse sur un caillou poli par les années et se noie. Englouti par ce qui se trouvait juste là. Cette force magnétique et éprouvante qui faisait ployer le temps et peiner les heures, la nuit. Il y avait quelque chose, dans l’eau. Elle en avait toujours été persuadée. Et il avait systématiquement balayé cette certitude en accusant une brise en amont ou la course naturelle vers l’aval. Mais Josephine savait faire la différence entre les mouvements que le vent ou le courant imposaient à la rivière, et ceux qui venaient de plus bas. Sous la surface. Elle avait vu cette onde vorace tenter de dévorer Austin, comme elle avait avalé leur grand-père lors de la dernière crue. Et peut-être l’emporterait-elle également à la prochaine.
Elle en rêvait, parfois. Boundless Beck sortant de son lit pour venir ronger les maigres fortifications de bois qui leur servaient d’habitation, à peine plus haut sur la berge. Ronger leurs os. Mitchell répétait que le niveau ne monterait plus. Et Jo attendait, craintive et impatiente, que les flots s’emportent à nouveau. Qu’ils les raflent tous.
Souvent, elle s’imaginait la rivière les happer dans leur sommeil. Les vagues rouler jusqu’à eux pour les noyer sans distinction. Sans considération. Elle aiderait alors. Juste avant de se laisser couler. Elle maintiendrait la tête d’Archer sous l’eau boueuse. Môme capricieux d’un couple qui battait de l’aile avant même sa naissance. Sale gosse qui lui rappelait sans cesse qu’elle ne remplacerait jamais sa mère. Elle n’en avait pas envie. Mais la jalousie se fichait bien de ce qu’elle voulait. Elle l’étreignait avec violence chaque fois que le sourire de Mitchell se faisait plus franc et plus grand. Chaque fois qu’Alycia apparaissait, avec ses longs cheveux blonds et ses grands yeux noirs remplis d’une douceur non feinte que Josephine ne supportait pas. Elle plaquait systématiquement ses mèches rendues cassantes par les décolorations derrière ses oreilles, quand elle la voyait arriver. Comme pour cacher la misère qu’elle était persuadée de représenter face à cet insupportable modèle de perfection et de comparaison. Et elle baissait les yeux pour ne rien voir de la complicité qui unissait encore son fiancé à son ex-compagne. Pour ne rien ressentir. Muette et passive jusque dans la rage qui pouvait la faire bouillonner et qu’elle s’empressait d’apaiser en enfonçant un peu plus profondément ses pieds dans le lit de la rivière qui les noierait tous, un jour.


Wish you were (now)here.

TW : Corps, meurtre, anxiété

Le contenu du box clignotait sous ses paupières. Revenait avec lui cette étouffante envie de disparaître. Ce besoin d’être ailleurs. Ou de n’être pas, tout simplement. Elle aurait voulu dissoudre le poids qui compressait ses poumons ; celui qui nouait sa gorge ; celui qui pesait sur son esprit jusqu’à l’engourdir. Installée derrière son bureau trop haut, affalée sur son siège, Josephine battait des cils en tentant de rattraper le cours effiloché de ses pensées. On ne voyait jamais que le haut de son visage, quand on entrait dans le hall d’accueil du Storage Star. Deux yeux rougis par la fatigue, l’ennui et la vie. Deux billes rendues vitreuses et ternes par les heures qui ne s’écoulaient pas et la luminosité au plus bas de son téléphone qu’elle observait toujours de trop près, le nez presque collé au verre de protection fendu qu’elle ne changeait pas.
Elle cillait, oubliait de respirer. Et entre chaque clignotement du contenu du box E-207 se fichait dans son champ de vision l’heure au bas de l’écran du vieil ordinateur. Les chiffres et les minutes se confondaient chaque fois qu’elle tentait de les lire. Les secondes mangeaient les précédentes et plus aucun nombre n’avait de sens. Parfois, le moniteur se mettait à grésiller. À se couvrir de neige pour masquer le temps qui ne s’écoulait pas. Alors elle attrapait son portable et se perdait pour le reste de la nuit dans des vidéos intéressantes et les récits glauques que des amateurs de true crime susurraient dans ses oreilles jusqu’au matin.
Elle aurait pu avancer la main pour décrocher le combiné de la ligne fixe qui la raccordait au monde extérieur, quand bien même elle ne sonnait jamais. composer le numéro des secours. De la police, à défaut - il n’y avait plus rien à secourir. Mais elle n’en ressentait ni l’envie, ni le courage. Elle se contentait de battre des paupières pour graver un peu plus profondément dans sa mémoire le contenu du lot qu’elle venait de refermer avant de se traîner jusqu’à son poste. Un écriteau au mur interdisait d’entreposer des restes humains. Mais il y en avait tant dans les recoins que plus personne n’y prêtait attention. Restes des leçons d’anatomie des années soixante-dix des lycées de la région. Collection de dents adultes trop nombreuses pour n’appartenir qu’à une seule personne. Elle tentait de ne jamais trop les déranger, quand elle fouinait dans la vie des autres. Elle refermait les lourds rideaux métalliques sans rien dire de ses trouvailles. Aussi ne dirait-elle rien pour celle-ci non plus. À quoi bon ? Il ne restait pas grand chose de son visage. Toutes les marques caractéristiques qui auraient pu la distinguer étaient rongées par le froid, les blessures et les hématomes. Jo ne l’avait pas reconnue. Ne l’avait peut-être même pas connue. Elle connaissait pourtant tant de monde. Si ce n’était personnellement, au moins de vue. On parlait à son voisin, ici. On savait tout de tous, dans une si petite ville. Et la curiosité la poussait depuis deux ans à fureter dans les pans de leurs vies. Ceux qu’on préférait garder dissimulés loin de chez soi ; enfermés à double tour, barrés de cadenas dans un entrepôt de stockage décrépi. Comme s’il suffisait d’éloigner ces morceaux d’histoire pour les effacer simplement et les oublier. On avait dû l’oublier, elle aussi.

Hayes Priest
Hayes Priest
gif : (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine B3d5d296a426976b6d3701631a8847767d1d0a45
pseudo + pronoms : faustine/kidd, she/her.
faceclaim + crédits : maverick mcconnell ⋅ av@self, gif@clydecorner

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MULTINICKS : camrhett

ZONE LIBRE :
HOW I RECLAIMED THE
WORD "CUNT" BY BEING ONE


age : twenty nine wild years (31st july '94)
WORK : cabaret performer (singer, dancer, musician)
LOVE STATUS : duh.
HOME : a flatshare above the cabaret, with his made-up family.
PRONOUNS : he/him.

RELATIONS : ruslan, cat, underworld, bonnie.

STYLE RP : fr/en, 3e pers du singulier, rythme aléatoire, m'adapte aux autres mais avec une tendance à m'étaler.
WARNINGS : sex, crude language, alcohol, future mentions of suicide.
Hayes Priest
glitz! glamour! i'll finally have it all!
 
 
aaah j'aime déjà ce début de fiche - et ce fc, mais ça tu le sais déjà (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 3495518279
elle correspond tellement bien à l'ambiance de nowhere, josephine, dans une vibe un peu southwestern gothic (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2196227194 tu me régales déjà (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2777283585

bienvenue à toi (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 328266879
Anonymous
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bienvenue (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 3495518279
je ne connais pas ta fc mais elle est si jolie ????????
amoureuse de ses yeux/son regard jsp il a un petit quelque chose de spécial
j'aime bcp (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 649420423
courage pour la rédaction hihi
des bisous small heart
Josephine Nash
Josephine Nash
gif : comfortably numb.
pseudo + pronoms : Caligari (elle)
faceclaim + crédits : Sophie Thatcher (avatar : nukaven - signature : awona)

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@Hayes Priest : tu peux pas imaginer à quel point Nowhere était exactement l'atmosphère dont j'avais besoin pour l'enfance et l'adolescence de Josephine. (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 1315037490
Je suis bien heureuse d'être tombée ici et de pouvoir lui faire vivre la suite de ses aventures dans ce charmant (?) trou perdu !

@Lynn Nolan : m'en parle pas, je crois que je suis tout aussi amoureuse de son regard que tu l'es. (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 4079004269
Merci pour tes petits mots !
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bienvenue parmi nous (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2010774733

god comment je suis déjà tellement in love de ta plume et de josephine????!!! (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 996535628 (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 841378856 (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 428954235 je ne connais pas l'avatar mais elle est si jolie??!!!
et ce pseudo. (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 3495518279
que de bons choix par ici.

bon courage pour la rédaction de la fin de ta fiche. il me tarde d'en découvrir encore plus sur jo (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2316949763
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j'adore l'aes de josephine. (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 4260984660
et plus encore le portrait que tu nous présentes dans la première partie, on arrive à la cerner en quelques phrases et jsp, je trouve le personnage étonnamment touchant? j'aime ses pulsions violentes qui surprennent un peu quand on lit la fiche, genre it comes a bit out of nowhere (cc le pun), mais ça rend le perso... ouais, authentique?
bon, j'espère un peu qu'elle va parvenir à être quand même heureuse, josephine. (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 810580670
bienvenuuue. (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2316949763 (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 649420423
Yael Callaghan
Yael Callaghan
gif : (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 3t3e
pseudo + pronoms : Ccil + her
faceclaim + crédits : Jennifer Connelly

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MULTINICKS : /

ZONE LIBRE :

age : 26 oct. 1977 - 46 ans
WORK : ancienne astrophysicienne et ingénieure spatiale un peu paumée, aujourd'hui mécanicienne à la casse de Nowhere
LOVE STATUS : célibataire ; sa vie sentimentale est un désert entrecoupé de nuits sans lendemain et de relations plus fugaces encore qu'une comète traversant le cosmos
HOME : chambre n°18 au GloryInn, pas sûre de s'attarder dans le coin, prête à mettre les voiles à tout moment
PRONOUNS : her

STYLE RP : 3e personne, 500-800 mots en moyenne, eng. ou cast. friendly
WARNINGS : emprise et abus psychologique, dépression / anxiété
Yael Callaghan
with the moon i run
 
 
Après la lecture de ton message dans la zone invitée, j'attendais avec impatience de voir ce que tu allais faire. Et je suis pas déçue du voyage (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 3452291990 (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 1315037490 J'adore le personnage qui est en train de se dessiner, l'étrangeté à la fois creepy et mélancolique qui se dégage de Jo (ce surnom, ce prénom (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2105812376) Bon, bref, je suis grave hypée, haha !
Bienvenue ici !!! Très hâte d'en lire plus !!
Louise Carstairs
Louise Carstairs
gif : (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 1289a9cd2c54f3f5d672aed31baf33bedf5f3bc3
pseudo + pronoms : goldens / she/her/elle
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Messages : 127
MULTINICKS : none.

ZONE LIBRE :

☾ ⋆*・゚:⋆*・゚.


in the valley of the dolls we sleep,
got a hole inside of me



─── ・ 。゚☆: *.☽ .* :☆゚. ───


age : [ thirty-six ● dec. 86 ] toujours une dizaine de moins dans sa tête, bloquée dans l'espace-temps par le deuil insurmontable de la vie qu'elle aurait dû vivre. (capricorn sun, gemini rising, libra moon.)
WORK : [ office manager ] oscar qui prend la poussière dans un coin de son salon, révérence tirée il y a bien longtemps désormais. retour forcé à l'anonymat, la mention du job qui occupe ses journées lui arrache toujours un soupir résigné.
LOVE STATUS : [ forever yours ] célibataire encore et toujours, le cœur volé il y a plus de deux décennies ne lui a jamais été rendu alors, elle se complait dans le déni et les plaisirs de la chair sans se soucier des individus.
HOME : [ #446 twin willow road ] a vécu dans la maison voisine lors de ses neuf premières années à nowhere, a emménagé auprès de rhett il y a de cela quelques mois. (right where she belongs.)
PRONOUNS : she/her/elle

RELATIONS : fiche / dashboard
STYLE RP : rythme décousu / jamais moins de 600 mots, plus aux alentours de 1k / possibilités de dialogues en anglais / troisième personne.
WARNINGS : relations familiales abusives, drogues (passif), alcool(isme), dépression, anxiété, tca, sexe, abandon, language vulgaire, élitisme. (entre autres.)
Louise Carstairs
the alcoholic fallen idol and improvised soccer mom
 
 
Oh, ce début de fiche (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 3495518279 J'suis tellement hype, ta plume se lit si facilement et Jo dégage une authenticité assez prenante. Me tarde la suite (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 1709241460
Bienvenue parmi nous I love you
Josephine Nash
Josephine Nash
gif : comfortably numb.
pseudo + pronoms : Caligari (elle)
faceclaim + crédits : Sophie Thatcher (avatar : nukaven - signature : awona)

Messages : 53
MULTINICKS : /

ZONE LIBRE :

the way I learned
to stop worrying
and love the flood.


. moodboard .
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playlistliens


age : 23 ans
WORK : Réceptionniste apathique du Storage Star, garde-meuble planté à la jonction de la ville et du désert.
LOVE STATUS : Fiancée. Un solitaire trop grand, porté au majeur quand elle pourrait simplement le mettre à taille. Moins d’amour que de confort pathétique dans cette relation.
PRONOUNS : Elle

STYLE RP : 300/1500 mots, 3e personne, dialogues en français
WARNINGS : Violence parentale, homicide involontaire, pensées homicidaires, noyade, deuil
Josephine Nash
comfortably numb.
 
 
Mais vous êtes des crèmes avec vos compliments. (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 1026364563

Je suis contente que Jo vous plaise et que vous lui trouviez une forme d'authenticité. C'est un des rares persos du genre que j'ai pondu, ça me rend joie que l'idée arrive à passer à travers les mots. (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2105812376

@Hayes Priest : est-ce que je peux te demander un délai pour la fiche ? Je pense pouvoir boucler tout ça mercredi au plus tard.
Hayes Priest
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gif : (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine B3d5d296a426976b6d3701631a8847767d1d0a45
pseudo + pronoms : faustine/kidd, she/her.
faceclaim + crédits : maverick mcconnell ⋅ av@self, gif@clydecorner

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MULTINICKS : camrhett

ZONE LIBRE :
HOW I RECLAIMED THE
WORD "CUNT" BY BEING ONE


age : twenty nine wild years (31st july '94)
WORK : cabaret performer (singer, dancer, musician)
LOVE STATUS : duh.
HOME : a flatshare above the cabaret, with his made-up family.
PRONOUNS : he/him.

RELATIONS : ruslan, cat, underworld, bonnie.

STYLE RP : fr/en, 3e pers du singulier, rythme aléatoire, m'adapte aux autres mais avec une tendance à m'étaler.
WARNINGS : sex, crude language, alcohol, future mentions of suicide.
Hayes Priest
glitz! glamour! i'll finally have it all!
 
 
je te rajoute un délai d'une semaine love
Anonymous
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Invité
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j'aime trop le mood qui se dessine autour de jo ?? (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 3495518279
autant le prénom, que le fc que l'espèce de " chaos " qui a l'air de régner autour d'elle ??
enfin bien hâte d'en apprendre encore plus sur jo taptap
bienvenue et bon courage pour ta fiche (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2105812376
Hayes Priest
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Oi oi (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2316949763
Ton délai supplémentaire pour ta fiche se termine aujourd'hui. N'hésites pas à te manifester si tu souhaites en avoir un dernier pour finaliser tout ça! Dans le cas contraire, la fiche sera archivée et le compte supprimé d'ici trois jours. love
Josephine Nash
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@Hayes Priest : la semaine a été plus remplie que prévue, je veux bien un tout dernier délai ! (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 1315037490

Gros merci pour la patience ! pink heart
Hayes Priest
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Je te rajoute ça I love you
Hayes Priest
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VALIDATION

félicitations!


j'ai relu toute ta fiche d'une traite, puis les messages de bienvenue des autres membres ensuite et clairement, chacun.e a su trouver les mots juste : authenticité, creepy, chaos, clairement chaque mot lui correspond parfaitement bien, dans un mélange si proprement dosé que c'en est aussi fascinant que dérangeant, i swear.  (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 1026364563  la lecture de ta fiche m'a provoqué un drôle d'effet au creux du ventre et justement, ça correspond parfaitement à l'une des ambiances que j'imaginais autour de la ville. (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2105812376

pour ce qui est de savoir si boundless beck va à nouveau sortir de son lit ou non... jo le découvrira à un moment, that's all i'm gonna say (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2777283585

évidemment, je te valide avec plaisir. bon jeu parmi nous, et j'espère te croiser inrp (délai 9/7) How I learned to stop worrying and love the flood. | Josephine 2105812376

le guide pratique

Bravo à toi! Tu as passé l'étape de validation avec brio, maintenant les portes du forum s'ouvrent grandes sous tes pas. Avant de te lancer à corps perdu dans le rp, cependant, voici une petite liste de choses à faire — rien de fou, ne t'en fais pas! La première étape sera d'aller recenser le métier de ton personnage dans le bottin adéquat, puis d'aller faire un tour du côté du registre des logements pour savoir où lea trouver au besoin.

Une fois ça de fait, tu peux aller créer ton journal de bord dans la partie adéquate en suivant le formulaire obligatoire, faire un petit tour dans le flood si le coeur t'en dit, aller poster tes pré-liens au besoin et, pourquoi pas, aller faire un tour du côté des recherches de liens ou encore des recherches de partenaire rp pour commencer les choses sérieuses!

Amuse toi bien.    
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