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- gif :pseudo + pronoms : Ccil + herfaceclaim + crédits : Jennifer ConnellyMessages : 135MULTINICKS : /age : 26 oct. 1977 - 46 ansWORK : ancienne astrophysicienne et ingénieure spatiale un peu paumée, aujourd'hui mécanicienne à la casse de NowhereLOVE STATUS : célibataire ; sa vie sentimentale est un désert entrecoupé de nuits sans lendemain et de relations plus fugaces encore qu'une comète traversant le cosmosHOME : chambre n°18 au GloryInn, pas sûre de s'attarder dans le coin, prête à mettre les voiles à tout momentPRONOUNS : herSTYLE RP : 3e personne, 500-800 mots en moyenne, eng. ou cast. friendlyWARNINGS : emprise et abus psychologique, dépression / anxiété
Yael Callaghan
with the moon i run
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TRIGGER WARNINGS / CONTENT WARNINGS: emprise et abus psychologiques, dépression et anxiété, perte de proches PRÉNOM(S), NOM(S): Elle est née Yael Rebecca Callaghan Edelstein. El pour les intimes. Kiddo pour son mentor. Un surnom qui l’aura tantôt empli de fierté ou fait se sentir ridiculement petite selon que soufflait le chaud ou le froid. Qu'il se rappelait qu'il était sensé l'aimer comme sa propre fille ou qu'elle n'était pas assez. Pas assez efficace, pas assez digne de lui, pas assez téméraire, pas assez, pas assez, pas assez. Alors aujourd’hui, elle est devenue Rebecca Jenkins. Beck ou Becca. Sa manière à elle de préserver quelque-chose de son identité passée malgré ces faux-papiers auxquels elle jette parfois encore un regard étonné. Pas abasourdie d’en être arrivée là mais presque.ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 26 octobre 1977 (45 ans), à Brooklyn, New-York. City girl born and raised, habituée aux horizons hérissés de verre et d’acier et au tohu-bohu des villes qui ne dorment jamais.ORIGINE(S) ET NATIONALITÉ(S): Américaine aux origines juives polonaises du côté de sa mère. Son père, lui, ne chercha jamais à gommer son accent irlandais malgré sa naturalisation.GENRE ET PRONOMS: N’a jamais pensé à s’accorder autrement qu’au féminin.MÉTIER, OCCUPATION: Ancienne astrophysicienne et ingénieure spatiale responsable du département de recherches et développement de Blakewell Industry, prestataire privé spécialisé dans l'innovation spatiale. Particulièrement connue pour ses travaux sur les moteurs à propulsion ionique, les questions de conversions d'énergie et de mécanique des fluides et les champs magnétiques / gravitationnels. Diplômée de l’université de Yale puis du M.I.T. Parcours sans tache d’une Icare des temps modernes censée tutoyer les étoiles mais ayant fini par se cramer les ailes à force de trop jouer avec le soleil.STATUT CIVIL ET ORIENTATION(S): Hétérosexuelle. Célibataire jamais mariée et sans enfant. Sa vie sentimentale est un désert entrecoupé de nuits sans lendemain et de relations plus fugaces encore qu'une comète traversant le cosmos. Une histoire de corps enlacés destinée à satisfaire un simple besoin physiologique ou à évacuer un trop-plein de pression. Pour ce qui est d'aimer et de se laisser aimer en retour... Ces choses demandent du temps. Un temps que Yael a trop peu souvent su se permettre. Vu comment cela a fini la dernière fois, elle n'est pas prête de remettre le couvert.SITUATION FAMILIALE: Fille unique de Myriam Edelstein, professeure de physique ayant su lui transmettre son amour des sciences, et de Glenn Callaghan, professeur de sociologie au City College de New York. Sa mère meurt malheureusement d'un cancer durant ses études (un deuil qu'elle n'a toujours pas digéré), et cela fait un peu plus de 2 ans que son père a succombé à un AVC. Il est parti avant qu'ils aient pu se réconcilier. Elle pensait qu'il y aurait toujours du temps pour ça plus tard. Pour se dire pardon et qu'on s'aime et apprendre à mettre des mots sur ce qui nous pèse. Mais le temps lui a filé entre les doigts plus vite qu'elle ne le pensait et, aujourd'hui, il ne reste plus que le silence des tombes.À NOWHERE DEPUIS: Que dalle. Elle vient de descendre du bus.POURQUOI?: Arrivée ici par hasard, dans le seul but de mettre le plus de distance possible entre elle et sa vie passée, Nowhere représente un nouveau départ pour Yael. L'opportunité de vivre enfin pour elle-même, même s'il y a quelque-chose d'effrayant à cette idée. La liberté lui fait peur, mais il faut croire que l'épouvantail de son ancien mentor projette une ombre plus grande encore.FACECLAIM: Jennifer ConnellyCARACTÈRE: passionnée - trop fière de son intelligence pour être très modeste même si elle fait plutôt profil bas ces derniers temps, évite de trop ramener sa science - workaholic - solitaire (par habitude plus que par conviction profonde) - pas du genre à se confier sur sa vie perso ni sur ce qu'elle ressent - pas du genre à analyser ses émotions de trop près d'ailleurs - pas non plus toujours la plus patiente qui soit, ni la plus indulgente, ni la plus délicate - cartésienne - foutrement têtue (au point de pouvoir friser la mauvaise foi) - pas ou peu de considération pour sa santé (dort peu, boit trop de café, saute trop de repas, minimise le moindre signe de maladie et ignore ceux de surmenage) - espiègle ascendant humour mordant - plus vulnérable et empathique qu'il n'y paraît - instinct maternel refoulé (pas le temps d'y penser avant et maintenant le train est passé) - plus pessimiste qu'optimiste - s'émerveille pourtant facilement face aux petits riens de la vie - aime l’orage, la neige, les étoiles, le bruit des vagues, plonger sa main dans un sac de graines et les grands espaces sauvages même si ces derniers l'impressionnent tout autant - devient une toute autre personne, plus libre, plus indécente et pas désolée de l'être, dès lors qu'elle a trois verres dans le nez (autant dire que le fait est rare) - bordélique - peut réciter par cœur le tableau périodique des éléments, numéros atomiques inclus, mais pas foutue d'enregistrer une date d'anniversaire - attachante malgré elle - n'a jamais pris le temps ni vu l'intérêt de passer le permis - juive de tradition culturelle mais non pratiquante (elle aimerait bien croire en un être supérieur pourtant) - polyglotte (elle maîtrise le français, l'espagnol et le russe, se débrouille plutôt bien en chinois et en hébreu et connaît bon nombre de formules de politesse et autres mots de vocabulaire dans un paquet de langues supplémentaires, courtoisie de son ancien milieu professionnel très international)Lorem ipsum dolor sit amet.
— auteurice, œuvre.Ccil ÂGE : la trentaine.PAYS, FUSEAU HORAIRE : Euskal Herria, côté Biscaye.SIGNE ASTRO : cancer.TYPE DE PERSONNAGE : inventé, reprise d'un autre forumUN DERNIER MOT POUR LA ROUTE? : ce code de fiche me fait suer du sang un peu, j'ai peur de tout faire péter à chaque fois que j'éditeCRÉDITS : avatars : space corgi - moodboard : space corgi & alcaraYael Callaghan Only human after all I'm a rocket ship on my way to Mars on a collision course, I am a satellite, I'm out of control, I am a sex machine ready to reload like an atom bomb about to oh, oh, oh, oh, oh explode, I'm burning through the sky, yeah, 200 degrees that's why they call me Mr Fahrenheit, I'm traveling at the speed of light, I wanna make a supersonic woman of you. - Don't stop me now, QUEEN De son enfance, Yael garde un souvenir tendre et la certitude d'avoir été aimée, choyée, protégée. Elle se souvient des rires ricochant contre les murs, et des accords de musique quand son père se saisissait de sa guitare pour lui chanter ses airs favoris (il lui fit croire pendant longtemps que Stevie Wonder avait composé Isn’t she lovely rien que pour elle…). Elle se rappelle aussi les balades dominicales le long de l’Hudson River, les moments de complicité avec sa mère autour d’une maquette scolaire, les premiers amours et chagrins de l’adolescence accompagnés des premières timides gorgées d’alcool. "Can't even go through a decent teenage rebellion" la taquina un jour son père en lui ébouriffant les cheveux, des sourires aux coins des yeux. Un peu inquiet, en vérité, de la voir grandir si vite et s’intéresser déjà plus à ses bouquins qu’à profiter de sa jeunesse, mais fier surtout, si fier de cette gamine qu’ils avaient dû sortir du circuit académique classique pour la scolariser dans un établissement mieux adapté à ses besoins : la prestigieuse St Ann’s School de Brooklyn Height. Sa petite fille. Sa tête de caboche qui, techniquement, n’avait même pas encore fêté ses 17 ans lorsqu’elle intégra l’université de Yale.
Et elle rayonne, Yael. Parce qu’elle aime ça : les mathématiques, la physique, les sciences en général, et que cela la rend fière, aussi, de rendre ses parents fiers. Alors elle ne renâcle pas à la tâche, boude les soirées étudiantes au profit de la bibliothèque et ne tarde pas à se hisser parmi les meilleurs éléments de sa promo. À se faire remarquer. Jusqu’à attirer l’attention d’un certain William Blakewell lors d’une conférence étudiante. L'excentrique entrepreneur en aéronautique spatiale est séduit par le potentiel de cette gamine de 19 ans qui disserte avec aisance sur les méthodes mathématiques appliquées à la mécanique des fluides, et décide alors de garder un œil sur elle. Il prend de ses nouvelles, l’encourage, lui demande même parfois son avis sur des publications et lui envoie ses propres problèmes, comme des défis intellectuels à relever. Il la teste, elle le sait et a du mal à en croire sa chance. Parce que l’homme a certes sa réputation mais qu’il tient déjà quelque chose de la légende et que Yael, elle, se surprend à vouloir plus que ce en quoi elle pensait aspirer jusque là : terminer ses études tranquillement avant de se tourner vers l’éducation. William n’a pas beaucoup à insister pour la convaincre d’intégrer le célèbre Institut Technologique du Massachusetts. Et si sa famille n’a pas les moyens d’assumer ces années d’études supplémentaires, qu’à cela ne tienne, il s’en chargera lui-même si Yael accepte de travailler pour lui en parallèle et quelques années après encore.
Deal.
Deal, deal, deal. Parce que Yael n’a jamais eu assez de ses grands yeux verts pour dévorer le monde et qu’enfin quelqu’un ouvre l’horizon devant elle. Lui promet le ciel et les étoiles. C’est avec un pincement au cœur mais des ambitions plein la tête qu’elle quitte alors New York pour Boston en 1998. Elle ne se rend pas encore compte qu’il y a parfois des ailes sous lesquelles il vaut mieux ne pas trouver refuge. Qui finiront par devenir trop lourdes à porter. Des professeurs tentent pourtant de la mettre en garde contre l’emprise que son nouveau mentor a tendance à étendre sur ses “petits protégés”, mais elle s’en fiche. Elle va avoir 21 ans. À cet âge, elle se croit invincible. William lui murmure à quel point elle est exceptionnelle, qu’ils feront de grandes choses ensemble, elle et lui, et elle le croit. Plus tard, avec les années, elle l'idéalisera moins, lèvera même facilement les yeux au ciel face à ses frasques et ses lubies mais, pour l’heure, elle a 21 ans et ses délires de grandeur deviennent presque les siens. Elle leur sacrifie déjà beaucoup en tout cas. À tel point que, quand sa mère meurt d’un cancer quelques années plus tard, Yael ne se déplacera pas pour l’enterrement. Comme si elle avait plus important à faire, comme courir après l'excellence et les étoiles. Son père ne le lui pardonnera jamais.
(It’s him, isn’t it? He’s the one who didn’t let you go. / God, dad, he’s not the Devil. No, it’s not him, I just couldn’t… I couldn’t, okay? / I don’t even recognize you anymore, it’s like you don’t give a shit about anything that doesn’t have to do with whatever it is you do these days. / She’s dead, dad, DEAD ! She’s the one who doesn’t give a shit anymore !)
C’est pourtant vrai qu’elle a changé, Yael. Qu’elle n’a plus grand chose de l’enfant timide qui avait du mal à lâcher sa mère ou de l’élève réservée qui arpentait les couloirs de Yale. Si elle n’a pas l’extravagance abracadabrante de son mentor ni sa férocité, elle a définitivement adopté quelque chose de sa superbe, de ce charisme fauve transpirant la confidence et frisant à l’insolence. Elle ne croit plus au fait qu’elle va changer le monde pourtant. Certainement pas à elle toute seule. Elle est brillante, certes, mais pas du niveau d’Einstein non plus. Aurait du mal à trouver le temps d’élaborer une théorie du Grand Tout de toute façon, vu la cadence à laquelle elle trime. S'il exigeait déjà beaucoup d'elle par le passé, plus les années passent plus la charge de travail que William lui impose vire à l’exploitation. Pourtant, Yael encaisse. Telle une grenouille dans sa casserole, elle s'adapte, continue de barboter dans son eau comme si elle ne se rendait pas compte que la température augmente dangereusement. Elle n’a pratiquement plus de vie sociale en dehors de ses collègues et seuls de rares contacts avec son père, mais continue de balayer les inquiétudes des uns et des autres quand ils osent les formuler à voix haute. Oui son travail est dur, intense, chronophage, mais il a aussi du sens et elle fait ce qu’elle aime après tout, non ? Elle n’est pas stupide. Elle sait que William est un foutu trou noir aspirant tout ce qui se trouve à sa portée, un poison doucereux qui s’immisce dans votre vie jusqu’à en contaminer le moindre aspect, au point de vous envoyer par la case détox s’il vous venez l’idée d’arrêter de prendre votre dose. Cela fait des années qu’elle observe son manège, qu’elle en a été complice même, parfois… Pourtant, elle veut croire que c’est différent avec elle. Mais même si cela est vrai, elle oublie une chose : que ce n’est pas parce qu’il l’aime qu’il n’est pas en mesure de la détruire.
Elle est déjà fatiguée en vérité, Yael, lorsque vient l’année 2021. Fatiguée mais amoureuse surtout. Tellement amoureuse que, depuis 3 ans, elle envisage enfin sa vie autrement qu’à travers le prisme de sa valeur intellectuelle. Au grand dam de William, qui ne manque jamais une occasion de lui faire savoir à quel point il désapprouve cette relation. Ses amants, ses petits copains de passage, il les a toujours tolérés, c’est bien normal, mais ça ? (Seriously, Kiddo, he’s such a joke ! I’m starting to doubt your common sense. You don’t need that kind of distraction. You’re better than that. You and me we’re from a different breed, we don't need something as trivial as love.) Mais elle ne l’écoute pas ce coup-ci, fait de la résistance et prend ses distances. Jusqu’à ce que l’annonce de ses fiançailles scelle la fin de son “indulgence”. Même s'il tente de justifier son geste autrement bien sûr, Yael n'est pas dupe lorsque William renvoie son fiancé pour faute professionnelle. Pourtant, lorsque ce dernier tentera de la convaincre de partir avec lui, elle choisira William encore une fois. Parce que son père est mort et qu’elle croit encore qu’il est la seule famille qu’il lui reste dorénavant. Qu’elle n’est pas prête à couper définitivement les ponts. Car il n’y aura pas d’autres alternatives, elle le sait. Il ne lui pardonnera jamais sa déloyauté si elle part.
Sauf que le mal est fait déjà, et Yael va amèrement regretter sa décision les mois qui suivent… Petit à petit, elle se rend compte de tout ce qu’elle a sacrifié et du peu qu’elle a reçu en retour au final. Les disputes avec William s’intensifient, ses coups bas également (il va jusqu’à organiser un dîner professionnel durant lequel elle se rend compte qu’il a promis à l'homme qui lui fait face qu’elle coucherait avec lui en remerciement de ses millions, et si elle a l'habitude qu'il utilise sa beauté comme argument de vente auprès de ses investisseurs, se plaise à l'exhiber dans les soirées mondaines de la Haute, pas comme ça, jamais comme ça). Prises de bec et désaccords ont toujours fait partie de la dynamique de leur duo, mais s’ils les compensaient par une complicité certaine à une époque, celle-ci s’effrite de jour en jour. Yael n’est même plus certaine de faire ce qu’elle aime vraiment à mesure que les intérêts de son mentor s’éloignent de la science pour aller flirter avec la science-fiction ou le simple appât du gain. Son précieux travail ne fait plus aussi sens qu’avant et elle sombre alors dans la dépression. Elle aimerait partir, mais les choses ne sont pas si simples. William a trop bien manœuvré toutes ces années durant pour la convaincre qu'elle n'est rien sans lui, qu'elle lui doit tout, et elle prend également soudain conscience d'une chose : qu'elle le craint autant qu'elle tient à lui. Qu'elle n'a aucune idée d'à quelle extrémité il serait capable d'aller pour la punir de sa trahison. Si elle compte survivre à l'abysse et reprendre sa vie en main, Yael ne voit alors pas d'autre échappatoire que de disparaître. Recommencer à 0 sous une nouvelle identité. Abandonner son monde pour se jeter dans l'inconnu. Pendant de long mois, elle planifie alors sa fuite jusqu'à un matin de janvier 2023 où elle s’évapore dans la nature, ne laissant derrière elle qu'une lettre demandant qu'on ne cherche pas à la retrouver.
- gif :pseudo + pronoms : deadpool (elle/she)faceclaim + crédits : peter gadiot / sweet poison (ava) priquintana (gif) .cyndel, VOCIVUS (sign)Messages : 53MULTINICKS : cecilZONE LIBRE :THEY SAID THE GRASS WAS GREENERage : quarante ansWORK : musicienLOVE STATUS : divorcéHOME : appartement partagé au-dessus de l'Underworld, la notion d'intimité y est théoriquePRONOUNS : il/heSTYLE RP : bw 400 et 800 mots, 3e pers. du singulier, dialogues en fr (eng si convenu en amont)WARNINGS : homophobie internalisée
Cat Ruis
with the moon i run
- gif :pseudo + pronoms : Ccil + herfaceclaim + crédits : Jennifer ConnellyMessages : 135MULTINICKS : /age : 26 oct. 1977 - 46 ansWORK : ancienne astrophysicienne et ingénieure spatiale un peu paumée, aujourd'hui mécanicienne à la casse de NowhereLOVE STATUS : célibataire ; sa vie sentimentale est un désert entrecoupé de nuits sans lendemain et de relations plus fugaces encore qu'une comète traversant le cosmosHOME : chambre n°18 au GloryInn, pas sûre de s'attarder dans le coin, prête à mettre les voiles à tout momentPRONOUNS : herSTYLE RP : 3e personne, 500-800 mots en moyenne, eng. ou cast. friendlyWARNINGS : emprise et abus psychologique, dépression / anxiété
Yael Callaghan
with the moon i run
@Cat Ruis mais non mais VOUZICI !! bon allez, ok, j'avoue, j'te stalk en fait hahaha
Trop contente de te retrouveeer
Trop contente de te retrouveeer
- gif :pseudo + pronoms : les draps bleus — val (il/iel)faceclaim + crédits : marco mengoni — avatar (c) ultraviolences — icon/signa (c) alcara — lyrics (c) tyler childers.Messages : 199MULTINICKS : /ZONE LIBRE :
BODY TERROR SONG
age : trente-cinq ans — d'après ton corps, mais c'est compliqué certains soirs, parce qu'alors t'as dix-sept ans, la peur d'un adolescent, et ton corps se rappelle. mais à trente-cinq ans maintenant, t'as passé la moitié de ta vie en sursis, et bientôt la balance penchera, et parfois t'y crois pas, t'y crois pas, t'y crois pas.WORK : en reconstruction — tu pues la friture du bacon et le café pas cher, et tu dis que toi ça te va, c'est presque rassurant, t'es presque utile, tu peux laisser le tablier dans les vestiaires à la sortie et laver tes cheveux, tu peux mettre de la crème sur les brûlures du grill et saluer d'un signe de la tête les habitués qui viennent à horaires fixes. t'as sûrement honte d'avoir préféré devenir personne pour survivre, ça t'emmerde toujours un peu de dire c'est temporaire parce que c'est temporaire depuis des années maintenant.LOVE STATUS : en mal d'amour — pour ne pas dire que t'as eu que deux ou trois coups d'un soir sur ces quatre dernières années, et que tu sais pas si ça te manque, et que tu sais pas si t'es en manque. tu fuis dès qu'on t'aime et t'aimes pas qu'on te fuit, dans tous les cas tu tournes en rond le vinyle écorché d'une chanson que tu connais sur le bout des doigts.HOME : walden ridge drive — un appartement au dernier étage, partiellement sous les toits, d'une ancienne maison devenue immeuble aux briques défraîchies.PRONOUNS : masculin — il/lui.RELATIONS : [robin] friends that are boys, boys that are friends — [lynn] drink alcohol 'til you come home for christmas — [yael] welcome to the city of dust — [milo] america, don't you cry — [you?] underco.STYLE RP : deuxième/troisième personne — interjections de première personne possibles — moyenne entre 500 et 1000 mots — corps en français, dialogues en anglais et en français.WARNINGS : fusillade [survivant d'un school shooting] — syndrome de stress post-traumatique, dépression, dissociation — alcool, drogue, comportements à risques — perte d'un parent.
Eddie Russo Jr.
with the moon i run
Invité
Invité
- gif :pseudo + pronoms : Ccil + herfaceclaim + crédits : Jennifer ConnellyMessages : 135MULTINICKS : /age : 26 oct. 1977 - 46 ansWORK : ancienne astrophysicienne et ingénieure spatiale un peu paumée, aujourd'hui mécanicienne à la casse de NowhereLOVE STATUS : célibataire ; sa vie sentimentale est un désert entrecoupé de nuits sans lendemain et de relations plus fugaces encore qu'une comète traversant le cosmosHOME : chambre n°18 au GloryInn, pas sûre de s'attarder dans le coin, prête à mettre les voiles à tout momentPRONOUNS : herSTYLE RP : 3e personne, 500-800 mots en moyenne, eng. ou cast. friendlyWARNINGS : emprise et abus psychologique, dépression / anxiété
Yael Callaghan
with the moon i run
@Eddie Russo Jr.
Merci de m'avoir embarqué dans tes bagages chaton ! Hâte que Yael descende de son bus et que Eddie lui serve son premier café à Nowhere
@Chucky Malenfant haha, merciiiiii !
Et nooon, elle va être bien à Nowhere, ça va l'obliger à faire une pause, c'est pas plus mal Et comme tu dis : le ciel étoilé c'est autre-chose ici ! Au plaisir de se croiser au détour d'un stalkage de Chucky (mais que fait ce garçon accroupi derrière un mur avec son appareil photo ?)(ouais, je commence déjà à stalker moi-même et je dois dire que ton perso envoie du lourd et est étrangement touchant)
Merci de m'avoir embarqué dans tes bagages chaton ! Hâte que Yael descende de son bus et que Eddie lui serve son premier café à Nowhere
@Chucky Malenfant haha, merciiiiii !
Et nooon, elle va être bien à Nowhere, ça va l'obliger à faire une pause, c'est pas plus mal Et comme tu dis : le ciel étoilé c'est autre-chose ici ! Au plaisir de se croiser au détour d'un stalkage de Chucky (mais que fait ce garçon accroupi derrière un mur avec son appareil photo ?)(ouais, je commence déjà à stalker moi-même et je dois dire que ton perso envoie du lourd et est étrangement touchant)
- gif :pseudo + pronoms : faustine/kidd, she/her.faceclaim + crédits : maverick mcconnell ⋅ av@self, gif@clydecornerMessages : 590ZONE LIBRE :HOW I RECLAIMED THE
WORD "CUNT" BY BEING ONEage : twenty nine wild years (31st july '94)WORK : cabaret performer (singer, dancer, musician)LOVE STATUS : duh.HOME : a flatshare above the cabaret, with his made-up family.PRONOUNS : he/him.STYLE RP : fr/en, 3e pers du singulier, rythme aléatoire, m'adapte aux autres mais avec une tendance à m'étaler.WARNINGS : sex, crude language, alcohol, future mentions of suicide.
Hayes Priest
glitz! glamour! i'll finally have it all!
Chucky Malenfant a écrit:ces métiers, damn???
mais du coup, j'imagine trop sa déception en débarquant à nowhere of all places.
au moins j'me dis, elle aura plus besoin d'un télescope pour pouvoir observer les étoiles i guess.
bienvenuuuue.
i mean, she might find something to do, who knows
qu'elle est belle, dans tous les sens du terme, ta dame
ce début est déjà passionnant, mille questions sur mille points différents, je me languis de pouvoir la découvrir un peu plus encore. elle aura peut-être l'occasion de faire des découvertes vu la nuit dégagée qu'on a par ici
bienvenue à toi
- gif :pseudo + pronoms : Ccil + herfaceclaim + crédits : Jennifer ConnellyMessages : 135MULTINICKS : /age : 26 oct. 1977 - 46 ansWORK : ancienne astrophysicienne et ingénieure spatiale un peu paumée, aujourd'hui mécanicienne à la casse de NowhereLOVE STATUS : célibataire ; sa vie sentimentale est un désert entrecoupé de nuits sans lendemain et de relations plus fugaces encore qu'une comète traversant le cosmosHOME : chambre n°18 au GloryInn, pas sûre de s'attarder dans le coin, prête à mettre les voiles à tout momentPRONOUNS : herSTYLE RP : 3e personne, 500-800 mots en moyenne, eng. ou cast. friendlyWARNINGS : emprise et abus psychologique, dépression / anxiété
Yael Callaghan
with the moon i run
@Hayes Priest moooh, c'est trop gentil, merci
J'ai posté un début d'histoire, je crois que ça répond déjà à quelques points, mais je tâche de boucler tout ça d'ici demain pour finir de lever le mystère (ça devrait pourtant aller vite vu que c'est une reprise de perso mais j'avais tellement écrit sa fiche à l'arrache à l'époque... qu'une petite révision s'imposait et que je m'en sors pas bcp mieux en fait )
J'ai posté un début d'histoire, je crois que ça répond déjà à quelques points, mais je tâche de boucler tout ça d'ici demain pour finir de lever le mystère (ça devrait pourtant aller vite vu que c'est une reprise de perso mais j'avais tellement écrit sa fiche à l'arrache à l'époque... qu'une petite révision s'imposait et que je m'en sors pas bcp mieux en fait )
Invité
Invité
moi pdt tte la lecture quand william était mentionné :
contente qu'elle lui ait échappé (ou pê pa finalement ) (on va dire pour le moment alors)
mais je suis fan de son métier, elle va trouver son bonheur dans le ciel de nowhere
en espérant qu'elle trouve un peu de sérénité
bienvenue à toi
contente qu'elle lui ait échappé (ou pê pa finalement ) (on va dire pour le moment alors)
mais je suis fan de son métier, elle va trouver son bonheur dans le ciel de nowhere
en espérant qu'elle trouve un peu de sérénité
bienvenue à toi
- gif :pseudo + pronoms : Ccil + herfaceclaim + crédits : Jennifer ConnellyMessages : 135MULTINICKS : /age : 26 oct. 1977 - 46 ansWORK : ancienne astrophysicienne et ingénieure spatiale un peu paumée, aujourd'hui mécanicienne à la casse de NowhereLOVE STATUS : célibataire ; sa vie sentimentale est un désert entrecoupé de nuits sans lendemain et de relations plus fugaces encore qu'une comète traversant le cosmosHOME : chambre n°18 au GloryInn, pas sûre de s'attarder dans le coin, prête à mettre les voiles à tout momentPRONOUNS : herSTYLE RP : 3e personne, 500-800 mots en moyenne, eng. ou cast. friendlyWARNINGS : emprise et abus psychologique, dépression / anxiété
Yael Callaghan
with the moon i run
@Leon Regan hahaha, précisément la tête de Yael aussi quand elle pense à lui et s'énerve toute seule
merci pour ton message et, d'ailleurs, faudra peut-être que je passe te voir en pv. va bien falloir qu'El se trouve un taff à un moment et mécanicienne au garage des Regan ça pourrait parfaitement coller (même si elle a pas le permis, elle te retape une bagnole easy-peasy !)
merci pour ton message et, d'ailleurs, faudra peut-être que je passe te voir en pv. va bien falloir qu'El se trouve un taff à un moment et mécanicienne au garage des Regan ça pourrait parfaitement coller (même si elle a pas le permis, elle te retape une bagnole easy-peasy !)
- gif :pseudo + pronoms : kidd, she/her.faceclaim + crédits : martiño rivas ⋅ av@self, gifs@lomapacks.Messages : 129ZONE LIBRE :·. ✹ ⊹
* ✫
. * . · ·
made of crushed
little stars
·
* ✵ ˚ .
˚ ·
· .age : thirty seven.WORK : annuitant, heir.LOVE STATUS : single but also married, but single, but *married* - please, ask!HOME : quite a huge house on twin willow road, shared with norah.PRONOUNS : he/him.STYLE RP : fr/en, 3e pers du singulier, rythme aléatoire, m'adapte aux autres mais avec une tendance à m'étaler.WARNINGS : népotisme, pornographie (non graphique), sexualité, deuil, armes à feu, drogues, alcool.
Cameron Lanzo
golden retriever himbo boy as shiny as the sun could be
oh, ce personnage et cette fiche tellement de haine contre ce satané william, là. j'espère que yael a effectivement pu lui échapper pour de bon, qu'elle ait enfin l'occasion de vivre sans son emprise planant au-dessus d'elle, elle mérite après tout ça.
en tout cas, je le redis, yael est un très beau personnage, je suis contente qu'elle ait trouvé sa maison à nowhere.
bon jeu parmi nous
Bravo à toi! Tu as passé l'étape de validation avec brio, maintenant les portes du forum s'ouvrent grandes sous tes pas. Avant de te lancer à corps perdu dans le rp, cependant, voici une petite liste de choses à faire — rien de fou, ne t'en fais pas! La première étape sera d'aller
Une fois ça de fait, tu peux aller créer ton
Amuse toi bien.
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