THAT THE NIGHT COME
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Rhett Winthrop
Rhett Winthrop
gif :  a glimpse of an undying, demure sun. Tumblr_pcc3elUxfb1usy7pbo2_r1_400
pseudo + pronoms : kidd, she/her.
faceclaim + crédits : ryan gosling ⋅ av@soeurdelune, gif@hemswrths.

Messages : 78
MULTINICKS : hayescam

age : thirty seven wild years.
WORK : math teacher at the eap educational complex - clearly not a life dream.
LOVE STATUS : let's just say you shut the fuck up.
HOME : living with louise on twin willow road, in that house which been his since he first came to nowhere.
PRONOUNS : he/him.

RELATIONS : (louise, caleb, norah, cam, griffin, ren)
STYLE RP : fr/en, 3e pers du singulier, rythme aléatoire, m'adapte aux autres mais avec une tendance à m'étaler.
WARNINGS : meurtre, alcoolisme, langage vulgaire, élitisme, sexe, dépression.
Rhett Winthrop
the deeply disturbed alchoholic math teacher grieving his stolen life
 
 


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  • TRIGGER WARNINGS / CONTENT WARNINGS: meurtre, alcoolisme, langage vulgaire, élitisme, sexe, dépression

    PRÉNOM(S), NOM(S): pendant un temps, il n'a plus été foutu de le savoir lui-même. il y a eu un nom de naissance, et celui qui était sensé représenter la renaissance. EVERETT AUGUST WINTHROP est né le jour de sa naissance, entre les bras de sa mère et sous le regard tendre de son père. rapidement surnommé rhett, il en a gardé le surnom comme première introduction à sa personne. benjamin harmon est né, quant à lui, lorsque la quasi totalité d'everett winthrop a cessé d'être, ne laissant dans ses sillages que le corps fatigué d'abriter un esprit tourmenté. les deux ont existé, mais le premier a fini par reprendre ses droits lorsque la justice fut enfin en mesure de faire son travail. ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE: il faisait terriblement chaud le jour de sa naissance. la climatisation grondait dans la chambre d'hôpital sans parvenir à apaiser la transpiration de sa mère. everett a poussé son premier cri le 29 août 1986, à los angeles, ca. ORIGINE(S) ET NATIONALITÉ(S): les winthrop sont arrivés aux états-unis il y a si longtemps qu'ils en ont oublié les détails du sang qui coule dans leurs veines ; personne n'est pleinement américain mais eux, si, apparemment. rhett n'a jamais pensé à remonter l'arbre généalogique, encore moins ces dernières années. le sang a remplacé la sève, et il n'est pas prêt à se lancer dans un nouveau genre d'archéologie. GENRE ET PRONOMS: homme cis, he/his/il. MÉTIER, OCCUPATION: on lui promettait un avenir brillant, couronné de résultats excellents obtenus dans une fac de l'ivy league puis d'un travail dont il serait fier et qui lui donnerait envie de quitter son lit chaque matin. mais tout ça lui a été volé. à la place, rhett contemple ses traits fatigués après une litanie de grognements mécontents à chaque retentissement de son réveil. adieu l'idée de devenir chercheur, d'enseigner en fac, celle-là même où il aurait obtenu son diplôme. à la place, il traine des pieds chaque matin pour se rendre au edgar allan poe educational complex, où il enfile sa casquette de prof de maths pour les lycéens, oubliant dans un coin son PhD en mathématiques appliqués obtenu à sa sortie d'université. STATUT CIVIL ET ORIENTATION(S): son célibat le fait lui aussi grogner, surtout quand elle est là, si près de lui, à lui rappeler ce qu'ils auraient pu être et ce qu'ils sont incapables de devenir. une nuée de et si qui l'entraîne dans les tréfonds de ses souvenirs, le poussant à les noyer dans les bouteilles de vin ou de tequila qui habitent ses placards. il n'a jamais aimé qu'elle, même lorsqu'elle n'était plus qu'un mirage imprimé sur le papier glacé des magazines, un souvenir si lointain que, pendant un temps, il s'est demandé s'il ne l'avait pas rêvée. il aurait voulu l'épouser, pérenniser son nom - leur nom - sur les petites têtes blondes de leurs gamins n'ayant finalement jamais vu le jour : un énorme échec qui continue de se rappeler à lui, quand bien même il sait parfaitement qu'ils ne seront plus en mesure de le réaliser. dans la solitude de cette nouvelle vie imposée, rhett s'est perdu dans des draps ayant mis en lumière sa bisexualité. des compagnes et compagnons temporaires, des relations de paraître au travers desquelles il essayait de se tromper plus que de tromper les autres. SITUATION FAMILIALE: i'll pass, il soufflerait. rhett était le fils unique de cordelia et anthony winthrop, un couple uni, aimant, à l'immesurable douceur pour leur seul enfant. ça lui a été enlevé il y a presque vingt ans maintenant. ne restent que les souvenirs entaché de leur propre sang. À NOWHERE DEPUIS: janvier 2007, parce qu'il fallait bien le mettre quelque part. seize ans, l'aube des dix-sept années passées à l'orée du désert, à brûler sous un soleil bien différent de celui de californie. POURQUOI?: ce n'est pas rhett qui a posé ses valises en ville, mais benjamin. parce que rhett ne pouvait plus être. pendant des années, on l'a connu sous ce nom fictif, donné par le programme de protection des témoins. il s'est forgé une nouvelle personnalité, à laquelle lui-même n'arrivait pas à adhérer dans un premier temps. une nouvelle histoire, un nouveau passé : toujours fils unique de deux parents décédés, mais les circonstances étaient bien moins tragiques, capables de faire souffler un c'est la vie au plus américain des hommes qu'il rencontrait. FACECLAIM: ryan gosling.

    CARACTÈRE: écrire ici.





  • I took a deep breath and listened
    to the old brag of my heart. I am, I am, I am.
    sylvia plath, the bell jar.






    80's uno reverse card, old football jersey, handwritten letters, vanilla and tobacco scent, we should meet in another life, pokemon cards, the wasteland between your neck & spine , faceless pictures, unused keys, memories' wooden box, blxxd stains, 2006, forgotten wedding ring, CACHEMIA, grease and leather, long blond hair everywhere, eyes so blue and so dark at the same time, dance moves, bagdad cafe — calling you, the sound of an old jukebox, shot of tequila and glasses of red wine, her voice on the tv, seduced by the tar pit pool, silhouettes of you, the way the eye of a tornado must feel, a less-than-optimal situation, how to hide your insanity, temporary character death, dry flowers, xanax rhapsody, faded handpoke tattoos, scratched faces on pictures, six zeros, your skin and mine, 09:12pm, it's a copy of a copy of a copy, erased from the earth's surface, — benjamin harmon's wild years






  • faustine/kidd

    ÂGE : presque vieille. PAYS, FUSEAU HORAIRE : angleterre, gmt. SIGNE ASTRO : encore et toujours une sag baby. TYPE DE PERSONNAGE : je me suis encore une fois laissée porter par les idées de @louise carstairs parce que why the hell not, hein.   a glimpse of an undying, demure sun. 4001809950  UN DERNIER MOT POUR LA ROUTE? : vous savez ce personnage que j'ai teasé plusieurs fois en mode "on pourra trouver des liens avec!!!" ? bah cadeau, c'est lui! CRÉDITS : soeurdelune pour les deux premiers avatars, moi-même pour le troisième, et pinterest pour la dernière + le moodboard. citations : louis tomlinson (copy of a copy of a copy), sylvia plath (the bell jar).





  • everett
    winthrop
    a copy of a copy of a copy





If the moon smiled, she would resemble you.
You leave the same impression
Of something beautiful, but annihilating.

    Los Angeles, CA — december 2006
    let me walk to the top of the big night sky
    please, hurry, leave me, i can't breathe
    please don't say you love me

    — mitski, first love/late spring
tw: meurtre, perte des deux parents, description scène de crime
Le moindre son autour de lui avait cessé d’exister. Plongé dans une surdité hallucinée, tout n’était qu’un brouhaha si lointain qu’il ne comprenait même plus le contour des mots, étouffés par la porte close d’un bureau vide où tout était flou. Chaque clignement d’yeux était d’une douleur insoutenable, ses paupières devenant l’écran d’un cinéma macabre où se dessinaient les scènes auxquelles il venait d’assister. Sur ses mains, sous la semelle de ses chaussures, le sang séché dégageait une odeur plus sucrée que la métallique ayant embaumé les pièces de la maison, plus tôt dans la soirée. C’était écoeurant. Plus tard, en repensant à cet instant précis, Rhett remerciera son corps d’avoir rendu ce qu’il avait avalé dans la journée face à la scène qui s’était déroulée sous ses yeux, pour lui éviter d’avoir à revivre l’exercice une fois au commissariat. Le sillage de ses larmes séchées tirait sa peau, mais la douleur physique n’arrivait même plus à le distraire de celle psychologique face aux corps sans vie de ses parents, baignés dans leur propre sang. Il les avait touchés – probablement n’aurait-il pas dû, mais tout le monde n’était pas capable de garder un esprit clair et vif face à deux cadavres de personnes si chères à son cœur. Leurs corps étaient encore chauds et leurs yeux, grand ouverts, lui avaient donné l’impression qu’ils le suivaient d’un regard terne et sans vie. L’image, il le savait, resterait gravée jusqu’à la fin de sa vie dans sa mémoire, qu’importe ce qu’il pourrait bien faire pour tenter de l’oublier.
La porte du bureau s’ouvrit – il ne le réalisa qu’à peine, plongé dans un état de choc sévère, les yeux rivés vers le sang séché sous ses ongles. Une voix s’était rapprochée. Elle semblait pressée et, dans la périphérie de son regard, Rhett apercevait un mouvement flou et blanc ; des feuilles de papier. Une main se posa sur lui, provoquant un tressaut incontrôlable, mais qui parvint, malgré tout, à le ramener suffisamment sur terre pour qu’il réussisse à comprendre quelques mots – à peine – du discours qu’on lui servait.
– Get you away from here… Witness Protection Programme… New identity… Far from LA… Another state or country… New life... I'm sorry...
Les sourcils de Rhett se froncèrent légèrement. Rien n’avait de sens, tout allait trop vite, ça lui donnait le tournis et lui provoquait une nouvelle vague de nausée malgré son estomac vide. La gorge serrée, il déglutit difficilement puis releva les yeux vers l’officier. Elle avait une trentaine d’année, encore trop jeune pour ce genre d'affaires, aurait-il pensé en temps normal. Une longue queue de cheval brune tombait sur son épaule et quelques mèches s’en échappaient, signe d’une trop longue nuit passée à travailler. Les traits de son visage, eux, disparurent de son esprit aussi vite qu’ils étaient arrivés à sa vue.
– Louise?..., il murmura d’une voix cassée, fatiguée, épuisée.
Un sourire compatissant se dessina sur les lèvres de l’officier et sa main se posa sur l’épaule de Rhett, le faisant tressaillir ; il n’avait pas envie d’être touché, encore moins par quelqu’un venant lui annoncer que sa vie, dès à présent, ne serait plus jamais la même.
– I’m sorry, we have to get you out of LA as soon as possible. We don’t know who’s done that yet and they might have something against you as well.
Pour la deuxième fois de la soirée, son cœur se déchira dans sa poitrine, rendant chaque battement si douloureux qu’ils le poussaient vers l’agonie.

    Nowhere, UT — SPRING 2007
    phone is quiet, walls are bare
    i drink myself to sleep, who cares?
    no one even has to know
    i'm dealing with it on my own

    — lany, malibu nights
tw: alcoolisme, dépresssion, pensées suicidaires, mormon roast
Il a pensé à se foutre en l’air, quelques semaines après son arrivée à Nowhere. Et puis quelques autres encore. La chaleur du désert l’assommait, le poussant à dormir bien plus qu’à l’ordinaire, incomparable à celle de la Californie. Dans les tabloïds, sur les étalages en ville, il voyait les visages de ses amis ; Louise, principalement, imprimée sur papier glacé, tantôt en larmes, tantôt à la sortie d’une soirée mondaine, clairement éméchée - bourrée. Ses habitudes oscillaient entre acheter le moindre magazine affichant ses traits et les fuir comme la peste, tant il lui était difficile de faire face à ce qu’il avait perdu, en plus de ses parents. Rhett était devenu aussi instable que sa douleur, s’intensifiant en tsunami d’un jour à l’autre, mais ne faisant pour autant jamais marée basse. Des vagues de désespoir qui n’avaient de cesse de le noyer dans les tréfonds de sa propre dépression au goût de tequila ou de whisky, parfois de vodka, rarement de vin, le plus souvent de rhum. Le regard que les gens posaient sur lui le dérangeait grandement ; il les sentait peser sur ses épaules, comme une épée de Damoclès au-dessus de sa tête, appuyant un poids supplémentaire sur son être entier. Malgré l’absence notable d’humidité, le désert de Nowhere prenait des allures de sables mouvants cherchant à avaler son corps et son âme pour n’en recracher que quelques petits os sur le sol desséché. Rhett avait envie de hurler. À pleins poumons, au cœur du désert, là où personne ne pourrait se faire témoin de la douleur constante dans laquelle il vivait et qui testait les limites de sa santé mentale. Dans la maison procurée par le WPP, il dépensait l’argent qui lui avait été alloué pour sa survie dans l’alcool et les cigarettes, embaumant chaque pièce d’une odeur âcre avec laquelle il tentait de dissimuler celle du sang séché de ses parents qui ne parvenait pas à quitter ses narines et le faisait vivre dans un état de mal être et de nausée constante. Quand il buvait, au moins, les images dans son esprit perdaient en précision. Sa mère n’était plus qu’un flou blond et rouge et le costume de son père semblait immaculé, le tissu noir perdant de cette teinte rouge-maronnée dans laquelle il l’avait vu baigner. Et à la fin de la soirée, immanquablement, il s’endormait, une bouteille vide à la main dont le fracas de la chute entre les doigts relâchés par le sommeil l’en tirait dans un grognement mécontent. On lui avait conseillé de rapidement mettre une routine en place, quand il était arrivé ici. De trouver ce qui ferait la vie de Benjamin Harmon dans la jolie petite ville de Nowhere, paumée, trou du cul de la contrée des mormons pour qui il valait mieux vendre sa mère que de se faire sauter avant le mariage – véridique : il l’avait vu dans un documentaire sur une école de la ville voisine, où chaque élève préférait se séparer de leur génitrice ou jeter un chiot dans une rivière que de commettre l’horrible péché du désir charnel. Bande de dégénérés. Sa routine, c’était ça : boire, se lamenter, contempler la boîte d’antidépresseurs fournis par sa thérapeute à son arrivée ici et se demander s’il valait mieux en gober un ou trente, et les noyer dans l’eau ou l’éthanol. Et le temps, terriblement lent, se dressait en ennemi face à lui.

Il fallut à Rhett – Benjamin Harmon – un long moment avant d’envisager de s’adapter à cette nouvelle vie qu’on lui avait imposée. Il troqua ses jolies mèches blondes, celles qui faisaient écho à celles de Louise, contre une coloration brune plus terne, laissant à voir la véritable teneur de ses pensées. Il retourna sur les bancs de la fac, bénissant ses capacités naturelles pour ne pas avoir à se plonger corps et âme dans les études. Sa thérapeute le poussa à s’inscrire aux alcooliques anonymes – grossière erreur, inévitable échec, misérable vision de lui-même suite à ça –, l’aida à trouver un boulot comme prof de math. Fucking math teacher, écrasant de son talon, sans s’en rendre pleinement compte, les restes d’ambitions qu’il touchait du bout des doigts pour le ramener à la réalité désastreuse de son existence. Et Rhett – Benjamin Harmon – tenta de vivre, hanté par celui qu’il aurait dû être, celui qu’il ne serait jamais, celle qui aurait dû être à ses côtés, et ses envies d’en finir.

    Los Angeles, CA — MAY 2015
    but how could you leave us all behind
    there's so much to say but there's so little time
    so how do i say goodbye
    to someone who's been with me for my whole damn life

    — dean lewis, how do i say goodbye
tw: meurtre
Dans son dos, les policiers s’agitaient, s'affairaient à reconstituer le drame de son existence. Le regard dans le vide, une cigarette au coin de la bouche, il reconnut la forme floue s’agitant à ses côtés comme Louise faisant les cent pas. Au moins elle était là, pensa-t-il, tirant une taffe qu’il recracha par ses narines – ça faisait rire Leo, qui le comparait à un dragon à chaque fois qu’il le faisait, sous le regard désapprobateur de Caleb. Tout était allé si lentement, puis si vite. Il avait retrouvé son cousin, puis ses amis. Il avait retrouvé Louise, qui avait tenu à l’accompagner ici. Sans elle, jamais Rhett – feu Benjamin Harmon – n’aurait réussi à venir. Incapable de rentrer dans la maison où gisaient, la dernière fois qu’il y était venu, les corps de ses parents, elle avait accepté sans même qu’il n’ait à le demander de rester à ses côtés, aussi nerveuse que lui. De la retrouver lui avait fait réaliser à quel point elle aussi avait souffert des événements. Certes, Cordelia et Anthony Winthrop étaient ses parents, mais aussi ceux de Lou, d’une certaine façon. S’il le savait déjà au plus profond de lui, le pourquoi du comment de la descente aux enfers de Louise, emportant avec elle Norah sans la moindre surprise, avait pris tout son sens en la retrouvant. Ils s’étaient longuement regardés, avant de finir dans les bras l’un de l’autre, se laissant submerger par une émotion si forte qu’encore aujourd’hui, ils ne savaient pas quoi en faire. La question de ce qu’ils étaient avait été soulevée par Cam et ses grands sabots dans un tout petit plat, sans qu’ils n’y répondent – question d’y parvenir ou de le vouloir, qui pouvait réellement le savoir? Même lui était enroulé dans ses propres incertitudes. Mais malgré tout, malgré ce qu’ils avaient raté de l’autre, malgré ce qu’ils avaient à réapprendre, Louise était là.
La main de Rhett tremblait, tenant la cigarette avec maladresse entre son index et son majeur, la faisant tomber à plusieurs reprises. C’était un retour dans le passé si violent qu’il se sentait comme un gosse terrorisé, devant faire face aux monstres dans son placard. Sauf que ses monstres, ils étaient réels, sombres, et prenaient la forme des deux premiers amours de sa vie vidés de ce qu’ils étaient, du visage de l’homme enfin arrêté pour leur meurtre, des souvenirs qui s’étendaient derrière la porte dans son dos et sur lesquels les enquêteurs piétinaient. On lui avait offert d’entrer à son tour et Rhett s’était tétanisé. Impossible. (ec)

    Nowhere, UT — SOMEWHERE IN 2022
    and i've been thinkin' 'bout the things we used to do
    not for the first time, not for the last time
    we always used to say
    "saturdays take the pain away"
    nobody stays the same
    no matter how much you want it
    nome things change

    — louis tomlinson, saturdays
tw: dépression
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

Louise Carstairs
Louise Carstairs
gif :  a glimpse of an undying, demure sun. 1289a9cd2c54f3f5d672aed31baf33bedf5f3bc3
pseudo + pronoms : goldens / she/her/elle
faceclaim + crédits : dianna agron / kidd (avatar), tisdalejunior (gifs), marina, aurora (lyrics)

Messages : 127
MULTINICKS : none.

ZONE LIBRE :

☾ ⋆*・゚:⋆*・゚.


in the valley of the dolls we sleep,
got a hole inside of me



─── ・ 。゚☆: *.☽ .* :☆゚. ───


age : [ thirty-six ● dec. 86 ] toujours une dizaine de moins dans sa tête, bloquée dans l'espace-temps par le deuil insurmontable de la vie qu'elle aurait dû vivre. (capricorn sun, gemini rising, libra moon.)
WORK : [ office manager ] oscar qui prend la poussière dans un coin de son salon, révérence tirée il y a bien longtemps désormais. retour forcé à l'anonymat, la mention du job qui occupe ses journées lui arrache toujours un soupir résigné.
LOVE STATUS : [ forever yours ] célibataire encore et toujours, le cœur volé il y a plus de deux décennies ne lui a jamais été rendu alors, elle se complait dans le déni et les plaisirs de la chair sans se soucier des individus.
HOME : [ #446 twin willow road ] a vécu dans la maison voisine lors de ses neuf premières années à nowhere, a emménagé auprès de rhett il y a de cela quelques mois. (right where she belongs.)
PRONOUNS : she/her/elle

RELATIONS : fiche / dashboard
STYLE RP : rythme décousu / jamais moins de 600 mots, plus aux alentours de 1k / possibilités de dialogues en anglais / troisième personne.
WARNINGS : relations familiales abusives, drogues (passif), alcool(isme), dépression, anxiété, tca, sexe, abandon, language vulgaire, élitisme. (entre autres.)
Louise Carstairs
the alcoholic fallen idol and improvised soccer mom
 
 
AAAAAH
AAAAAAAAAAH
AAAAAAAAAAAAAAAAAAH

 a glimpse of an undying, demure sun. 428954235  a glimpse of an undying, demure sun. 428954235  a glimpse of an undying, demure sun. 428954235  a glimpse of an undying, demure sun. 428954235  a glimpse of an undying, demure sun. 428954235  a glimpse of an undying, demure sun. 428954235
Ce début de fiche, toi, Rhett, Rhouise, nos idées de folie (et Ryan aussi, faut pas déconner non plus). Je sais même pas quoi dire tellement je suis aux anges.  a glimpse of an undying, demure sun. 3253444030 Plein de love sur ta face, j'ai trop hâte de lire la suite et de jouer avec nos p'tits loulous! I love you I love you
Yael Callaghan
Yael Callaghan
gif :  a glimpse of an undying, demure sun. 3t3e
pseudo + pronoms : Ccil + her
faceclaim + crédits : Jennifer Connelly

Messages : 135
MULTINICKS : /

ZONE LIBRE :

age : 26 oct. 1977 - 46 ans
WORK : ancienne astrophysicienne et ingénieure spatiale un peu paumée, aujourd'hui mécanicienne à la casse de Nowhere
LOVE STATUS : célibataire ; sa vie sentimentale est un désert entrecoupé de nuits sans lendemain et de relations plus fugaces encore qu'une comète traversant le cosmos
HOME : chambre n°18 au GloryInn, pas sûre de s'attarder dans le coin, prête à mettre les voiles à tout moment
PRONOUNS : her

STYLE RP : 3e personne, 500-800 mots en moyenne, eng. ou cast. friendly
WARNINGS : emprise et abus psychologique, dépression / anxiété
Yael Callaghan
with the moon i run
 
 
I sense some drama coming  a glimpse of an undying, demure sun. 1974645351 and I'm so ready for it  a glimpse of an undying, demure sun. 4260984660

Puis, franchement, cette fois va falloir qu'on se dégote un lien, mr le prof de maths !
Sheridan Baird
Sheridan Baird
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pseudo + pronoms : skellige/she
faceclaim + crédits : haley bennett; kidd (ava) SIAL (sign) ethereal (icon) spiritbox (lyrics)

Messages : 131
MULTINICKS : tony the cryptozoologist, paola the bride

age : 37
WORK : factrice; aide à domicile non rémunérée
LOVE STATUS : célibataire mi-blasée mi-effrayée
HOME : twin willow road
PRONOUNS : elle

RELATIONS : Holden - +
Cat +
Caleb +
Cam +

STYLE RP : normalement entre 600 et 800, ça peut être plus, ça peut être moins. FR, EN sur demande. couleur dialogue: #cc6600
WARNINGS : deuil, décès d'un proche
Sheridan Baird
with the moon i run
 
 
cat cat
Rhett Winthrop
Rhett Winthrop
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pseudo + pronoms : kidd, she/her.
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Messages : 78
MULTINICKS : hayescam

age : thirty seven wild years.
WORK : math teacher at the eap educational complex - clearly not a life dream.
LOVE STATUS : let's just say you shut the fuck up.
HOME : living with louise on twin willow road, in that house which been his since he first came to nowhere.
PRONOUNS : he/him.

RELATIONS : (louise, caleb, norah, cam, griffin, ren)
STYLE RP : fr/en, 3e pers du singulier, rythme aléatoire, m'adapte aux autres mais avec une tendance à m'étaler.
WARNINGS : meurtre, alcoolisme, langage vulgaire, élitisme, sexe, dépression.
Rhett Winthrop
the deeply disturbed alchoholic math teacher grieving his stolen life
 
 
@louise carstairs j'ai 👏 trop 👏 hâte 👏 de 👏 nos 👏 rp 👏 prévus 👏

@yael callaghan t'as un bon flair ma foi  a glimpse of an undying, demure sun. 1974645351
on en discute quand tu veux.  a glimpse of an undying, demure sun. 3263104879

@sheridan baird winkycat winkycat winkycat
Josephine Nash
Josephine Nash
gif : comfortably numb.
pseudo + pronoms : Caligari (elle)
faceclaim + crédits : Sophie Thatcher (avatar : nukaven - signature : awona)

Messages : 53
MULTINICKS : /

ZONE LIBRE :

the way I learned
to stop worrying
and love the flood.


. moodboard .
____________

playlistliens


age : 23 ans
WORK : Réceptionniste apathique du Storage Star, garde-meuble planté à la jonction de la ville et du désert.
LOVE STATUS : Fiancée. Un solitaire trop grand, porté au majeur quand elle pourrait simplement le mettre à taille. Moins d’amour que de confort pathétique dans cette relation.
PRONOUNS : Elle

STYLE RP : 300/1500 mots, 3e personne, dialogues en français
WARNINGS : Violence parentale, homicide involontaire, pensées homicidaires, noyade, deuil
Josephine Nash
comfortably numb.
 
 
Je t'ai pas zappée.
Je viens t'embêter sur discord.  a glimpse of an undying, demure sun. 3721186388

C'est si prometteur.
On veut la suite !
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